Généalogie de Dominique Chassignet | |
Issu à presque 100% de cette partie nord-ouest de Belfort, au pied des Vosges, en particulier entre Evette, Auxelles et Champagney, ma généalogie me fait réaliser pourquoi j'aime profondément ma région, mes racines, mon environnement et mes connaissances, avec la chance d'être revenu y vivre, surpris de constater que je vis en fait à proximité de nombreux "cousins" : |
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Des recherches d'ancêtres effectuées sur la partie nord-ouest de Belfort sont à disposition ici (accès protégé). Elles comptent environ 38000 personnes (avril 2023), avec 5000 individus dont l'état civil mentionne Evette ou le Salbert. Environ 95% des individus nés, mariés ou décédés à Evette-Salbert, de même qu'à Errevet et Frahier, entre 1790 et 1940, sont consultables. Il ne faut pas s'étonner de trouver des noms sur les environs de Combeaufontaine (70), avec des branches sur l'ouest de la Haute-Saône, et Fraisans (39), avec des branches sur le Jura, le Doubs et le Morvan, ceci pour mes relations conjugales. Mes petits-enfants ont d'autres origines dans la Mayenne, le Jura, la Loire et les Hautes-Alpes. Une bonne partie des données précédentes sont également consultables en accès libre sur Geneanet. Il me faut remercier Gérard Ratti qui a initié mon goût pour la généalogie en me fournissant une bonne partie des Voisinet d'Evette (Voisinet étant le nom de ma mère) et par la suite bien d'autres renseignements. Je dois également beaucoup à l'association Lisa90 pour le Territoire de Belfort, et en particulier Monique Mauchard et Claude Kouzmine, toujours disponibles pour aider dans les recherches. Enfin il ne faut pas que j'oublie Serv@ncnautes pour la Haute-Saône et surtout les alentours de Servance. Sinon la plupart de mes données viennent des archives départementales et de Geneanet, avec quelques noms qui reviennent régulièrement mais que je ne peux citer pour éviter d'en oublier. C'est grâce à ces gens-là et au partage de leurs données que la généalogie progresse. Voici un tableau qui aide à établir les liens de parenté : Il suffit de chercher "Moi" dans le tableau ci-dessus puis d'en déduire comment se nomment les autres suivant leur position. |
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Et pour sourire il est amusant de se demander si le nom que chacun porte, à savoir celui de son père, est bien celui qu'il devrait porter, car c'est loin d'être évident. En fait, à part un test génétique ou la confiance accordée à la mère, rien ne prouve que ce père le soit réellement. En prenant la proportion de 3% d'enfants adultérins, ce qui me semble plutôt réaliste, à raison de 4 générations par siècle cela nous donne une probabilité de Un article intitulé « Combien d’enfants ne sont pas vraiment de leur père ? » est visible sur Science étonnante. C'est pourquoi il vaudrait mieux orienter les recherches généalogiques du côté des mères ! En ce qui me concerne, même si j'avais à me poser cette question pour moi-même, cela ne m'empêcherait pas de continuer mes recherches en suivant les voies traditionnelles, recherches qui peuvent vite devenir passionnantes... Autre sujet, les notaires et généalogistes ne vont pas rire. Femmes couguars, familles recomposées : il va y avoir du pain sur la planche pour les notaires et leurs généalogistes en charge de régler les successions. Pour la simplification administrative, ça va être compliqué. Voici un exemple de ce qui les attend : Je suis un homme de 27 ans et je me suis marié à une divorcée de 46 ans, mère d'une fille de 25 ans. Là, le pauvre fait un malaise... |
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